Toutes les contributions de Alertswiss Redaktion

05 septembre 2016

Comptoir Suisse 2016: La protection de la population est hôte d’honneur

Cette année, la protection de la population se présentera en grande pompe au Comptoir Suisse de Lausanne. La police, les sapeurs-pompiers, les services de sauvetage, l’organe de conduite cantonal et l’Office fédéral de la protection de la population (OFPP) seront de la partie, sous la coordination du Service de la sécurité civile et militaire (SSCM) du canton de Vaud.

©Luftwaffe
12 août 2016

Connaître les dangers : Crue

Quels sont les dangers qui menacent la population suisse ? Selon quel scénario un grave événement dommageable pourrait-il se dérouler dans notre pays ? Quelles seraient ses conséquences pour les personnes, l’environnement, l’économie et la société ? Et vous-même, que pouvez-vous faire personnellement pour mieux vous protéger ?

05 août 2016

2016 : une année à tiques

L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) a recensé pas moins de 14 600 consultations médicales à la suite d’une piqûre de tique depuis le début de l’année, ce qui correspond à la valeur la plus élevée depuis le début de cette surveillance. Faut-il systématiquement consulter un médecin après une piqûre de tique ? Quelles sont les maladies transmises par les tiques ? Nous avons réunis pour vous les informations principales sur le sujet ainsi que quelques conseils utiles.

21 juillet 2016

Informations générales et conseils pratiques en matière de provisions de secours

La majorité de la population suisse ne semble guère préoccupée par le « Grand Cataclysme », qu’il s’agisse de la défaillance totale de toutes les prestations d’approvisionnement des pouvoirs publics, pour une raison ou une autre, ou d’une apocalypse nucléaire, voire de la Guerre des Zombies… Inspirés par des scénarios extrêmes de ce type, ceux que l’on surnomme « preppers » (survivalistes) aux États-Unis se préparent au contraire jusque dans les moindres détails à survivre dans un monde dévasté. En Suisse, l’attitude la plus commune serait plutôt de se dire : « À quoi bon faire des provisions de secours ? Il ne se passe jamais rien ici. » Il n’est pourtant pas inutile d’avoir chez soi de telles provisions, et pas seulement dans la perspective de la fin du monde.